Georges Méric visite le centre de vaccination de la Clinique Monié à Villefranche-de-Lauragais
Vendredi 12 février à 10h30
Vendredi 12 février à 10h30, Georges Méric, président du Conseil départemental de la Haute-Garonne, se rendra au centre de vaccination de Villefranche-de-Lauragais installé à la clinique Monié. La clinique a été mandatée le 18 janvier par l’État pour accueillir un centre de vaccination Covid-19 pour les plus de 75 ans. Au 8 février, 336 premières doses y ont été injectées.
Dès le début de la campagne de vaccination, coordonnée par le Préfet, le Conseil départemental a fait part de sa mobilisation aux côtés de l’État pour faciliter et accélérer la vaccination en Haute-Garonne. Dans les établissements médico-sociaux, le Département a proposé de coordonner les campagnes de vaccination dans les résidences autonomie, les Petites Unités de Vie et les établissements pour les personnes en situation de handicap.
La collectivité a également constitué des équipes mobiles pour assurer les vaccinations à domicile, afin de répondre à des situations spécifiques, telles que les personnes isolées ne pouvant se déplacer.
Le SDIS 31 a mis à disposition des moyens humains (pompiers, personnels médicaux) afin de permettre l’ouverture de centres de vaccination supplémentaires (Fronton et Bagnères-de-Luchon) et un point de vaccination pour les sapeurs-pompiers de plus de 50 ans a également été mis en place à l’état major du SDIS 31. 193 personnes y ont été vaccinées depuis le 11 janvier.
Enfin, le congélateur du Laboratoire départemental EVA 31 a également été mis à disposition.
« Seule une campagne de vaccination massive permettra de stopper la pandémie et de protéger la santé du plus grand nombre. Cela doit être notre priorité absolue et collective. Le Conseil départemental prend toute sa part, en se coordonnant avec le Préfet pour la vaccination des plus vulnérables. En tant que médecin, je persiste à considérer que la campagne de vaccination doit aller plus vite. L’approvisionnement en doses des centres de vaccination, comme la prise de rendez-vous des personnes de plus de 75 ans pour les première ou deuxième injections m’inquiètent tout particulièrement, car nous sommes face à une gestion de la vaccination au jour le jour. Nos concitoyens ont besoin de se projeter pour comprendre la stratégie vaccinale de l’État » déclare Georges Méric.